Etat des lieux ( 2 )
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La première
difficulté qui s'est présentée a été l'accès aux postes pilote et
bombardier. Malgré un déverrouillage apparent, la verrière pilote et le
panneau bombardier refusaient obstinément de s'ouvrir. |
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L'ouverture de
la verrière pilote s'est somme toute assez bien passée. Une quantité non
négligeable de dégrippant a été nécessaire mais par chance, seule la partie
proximale de la commande de secours était grippée. Une série de va et vient
sur la commande avec injection de dégrippant a finit par vaincre les
résistances. |
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La rupture du
câble n'est intervenue qu'à la deuxième tentative d'ouverture, une semaine
plus tard!
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Levier de
commande d'ouverture d'urgence.
Une traction énergique suffit à déverrouiller la trappe du bombardier.
Dans notre cas, une traction énergique a suffit ... à casser le câble de
commande! |
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La verrière
ouverte a permis de juger du bon état de conservation du poste de pilotage
malgré des décennies d'abandon! |
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La planche de
bord est quasiment complète, seuls manquent, comme c'est la tradition,
l'altimètre, la pendule et la poignée pilote de même que le viseur.
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Après mûre
réflexion, il nous est apparu que la seule manière élégante d'ouvrir la
trappe bombardier, était d'intervenir sur le mécanisme de relevage. Deux
trappes symétriques, en arrière du poste bombardier,nous donnèrent à penser
que le mécanisme pouvait bien se trouver quelque part par là... |
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Bonne pioche!
En effet, le mécanisme de relevage (un moteur et deux cardans entraînant
deux pignons avec chaînes renvoyant le mouvement de rotation vers le
pantographe de relevage) nous est apparu!
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